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freeterritories

THE END

Publié le 17 Mai 2010 par JFDM

DANS LE MONDE DES MORTELS, LES ELFES CESSENT D'ETRE ETERNELS.

 

Mais c'est "normal".

C'est dû à l'usure. Non pas des sens, ni du corps, mais de l'absence de féerie et de magie.

Sana erreur de navigation, ni dans les contrées traversées de ce monde, ni dans les histoires d'amour, ni dans les nombreux lieux offerts par cette planète pour s'y reposer, y cavaler, y aimer.

 

Non : ce qui tue les Elfes, c'est l'ennui.

 

LA MAGIE DES CONTREES DE CE MONDE

 

Pas besoin de faire un dessin de l'infini plaisir de passer des quartiers de Napoli aux lacs sereins de Savonlinna.

Ou d'un lever de soleil sur le Macchu Picchu ou sur le désert de Nazca ou le désert de sel de Uyuni.

Ou le plaisir des thermes de Buda Pesti en hiver, ou les pistes de la Streif à Kitzbühel, ou la piste de In Salah à Zinder à travers le Sahara.

Ou les falaises de Bandiagara, la baie de Ha Long, le Mount Batur à Bali.

Salvador da Bahia, Buenos Aires, Mexico, Cartagena en Colombie, Caracas, Santa Lucia, Boca Chica.

La selva, les volcans, la neige, les plateaux, les déserts.

Zahedan, Quetta, Lahore, les hauts plateaux de l4inde vers le Tibet.

Les carnavals de Venezia, de Dunkerque, du Brésil.

L'Amazonie de Belem à Iquitos.

Le Cingle de Beaufort en Périgord, la Berthoumarie, Leffrinckouque.

Baghdaon, Népal. Blitta, Togo.

Les plages, partout. Le vent frais, partout. Les blizzards.

 

LA MAGIE DES CORPS DE FEMMES.

 

Luttes de sueur, d'odeurs, de dons.

Longues lianes qui s'enchevêtrent.

Nuits obscures et lumières de néon.

Lits confortables, cabines d'ascenseur, cabanes gelées, sable chaud, toujours plus.

Toisons pubiennes toujours différentes, de toutes les couleurs, chacune unique et magique.

Corps pressés l'un contre l'autre.

Danses des corps, longues fusions, s'offrir et offrir toujours.

Souplesse, résistance, imagination, félinité.

 

BALAYE PAR LE VENT

 

De tous ces moments, reste la sensation d'une infinie douceur.

Reste l'ampleur de ces mouvements et déplacements.

Reste la perception, magique, de cette immense plénitude partagée à l'infini, et pour l'infini.

 

RESTE QUOI, EN FAIT ?

 

Une idée de la Patagonie, avec un lieu bien précis, où aller poser ce qui reste de moi.

Une notion de l'Atlantide, et de ce dernier continent que je voudrais connaître.

Un appel vers les Abysses, tellement chaleureuses, tellement attirantes...

 

ET PUIS, MON CRANE DE JAGUAR...

 

Avec sa dentition qui défie le temps.

Avec ses messages subliminaux qui me tirent vers Autremonde.

Toujours attentif, toujours chiant, en fait.

 

ET ENFIN, LA NYMPHE GLACIALE

 

Qui de son regard hypnotique m'entraînera vers des fonds aquatiques où j'oublierai de réfléchir, et me laisserai aller dans un lacis d'algues accueillantes, mon vrai pays peut-être ? De ses petites dents acérées, cette belle créature me déliera enfin de tous les serments que je n'ai jamais tenus...

 

 

CECI EST LA FIN DE CE BLOG, SON DERNIER ARTICLE DE MA PART.

 

AU PIRE, RESTENT LES APEROS GEANTS DE FACE BOOK POUR TOUS LES CONNARDS QUI N'ONT JAMAIS RIEN VU DU MONDE NI DES AUTRES.

 

QUE LE JAGUAR ET LES NYMPHES VOUS ACCOMPAGNENT LONGTEMPS.

 

 

 

 

 

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